Non, il ne s’agit pas d’une bière allemande, ni d’un apéritif italien. Avec un peu plus d’imagination, “Spitzer” pourrait évoquer le nom d’un club berlinois des années 1980, ambiance underground et givrée, où l’on va pour remuer la tête sur les pulsations lourdes et cadencées d’une bonne musique électro, industrielle et sombre. Cette évocation se rapproche grandement du Spitzer dont il est question ici : un duo fraternel qui vient de sortir son deuxième album.